Retour au bercail pour la miss [LIBRE]

Katherine marchait d’un bon pas dans les rues encore ensoleillée de Long Beachi malgré l’heure tardive. Effectivement a 19 heure Kate sentait toujours le soleil la brûler dans le dos. Elle regarda sa montre et elle soupira : elle avait passé son après midi entière a faire les boutiques alors que d’habitude elle faisait plutôt attention a ce qu’elle achetait, mais la elle s’était pour ainsi dire, lâchée. Des dizaines de sacs Dior, Chanel, louis Vuitton, Burberry et tous le reste s’accrochaient a ses bras halés. Elle tenait dans sa main droite ses clefs de sa villa.

La jeune femme arriva devant son portail et elle attrapa une clef qu’elle enfonça dans la serrure du portail. Au bout de quelques minutes d’efforts elle réussit a l’ouvrir. Elle le poussa d’un coup de pied et après être entrée dans son jardin le portable de la belle se mit a vibrer pour lui indiquer que quelqu’un l’appelait. La miss essaya vainement de sortir son portable de son sac et quand elle y réussit enfin la personne raccrocha. Katherine soupira et regarda son portable d’un air navrée : elle ne savait pas qui l’avait appelé, enfin bon… La jeune femme garda son portable dans une de ses mains et elle fit deux pas avant de s’écrouler faces contre terre : son pied avait buté contre une pierre et celle-ci lui avait fait perdre l’équilibre. Le contenu de ses sacs se répandit un peu partout autour d’elle. La belle resta quelques minutes dans la même position sans bouger. Elle décida enfin de se relever et elle s’assit. Elle soupira derechef et elle se leva… enfin elle le voulut. Il semblerait qu’elle se soit tordu la cheville car son pied refusa de la soutenir et elle s’écroula une seconde fois sauf que cette fois-ci une douleur la lançait dans la cheville. Kate serra les dents : elle en avait marre de cette journée tout d’un coup. Elle tourna la tête vers la rue qui n’était qu’a quelques pas pour voir si une âme en peine ne serait pas passé pas la et aurait pu l’aider. Malheureusement pour la miss il n’y avait personne. Elle n’avait plus qu’a attendre, soit que sa cheville la fasse moins souffrir soit que quelqu’un passe et l’aide…

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